Interview de Félicity Lott et de Jacqueline Bourgès-Maunoury pour le récital “Un amour de Swann” Marcel Proust -Reynaldo Hahn

Radio Fréquence Protestante

« Un pianoforte sontuoso partecipa alla riuscita del disco, rivelando tutta la straordinaria sensibilità dell’interprete »

Ferruccio Nuzzo – Grey Panthers

«…il se dégage de ce disque une profonde inspiration. Fidèle à son propos il nous emmène sur les cîmes de l’esprit. Jacqueline Bourgès-Maunoury est une pianiste dont la finesse et l’intelligence font honneur aux œuvres qu’elle a choisies. Un disque magistral »

Alexandre Sorel Critique du CD dans PIANISTE MAGAZINE – octobre 2014

« Les quatre oeuvres de ce disque ont en commun une élévation spirituelle d’où le titre…elles suscitent chez l’auditeur une émotion qui ne concerne pas seulement notre petite personne mais nous porte vers ce que nous ne pouvons sans doute pas atteindre autrement que par la musique.[sic] Jacqueline Bourgès-Maunoury »

Alexandre Sorel- Interview Jacqueline Bourgès-Maunoury dans Pianiste Magazine – octobre 2014

« Jacqueline Bourgès-Maunoury qui a toujours privilégié la recherche musicale et sonore fait ici magnifiquement résonner à travers le piano l’orgue de Bach ».

site pianobleu – Agnès Jourdain- Critique du disque – octobre 2014

« Je ne pense pas que Susan Graham ait jamais été aussi bien accompagnée. Les solos furent de toute beauté. Un très très grand merci. »

Jean-Pierre Brossmann (octobre 2010)

« La révélation de la soirée, la pianiste Jacqueline Bourgès-Maunoury. Cette femme petite, frêle aux longues mains nerveuses et frémissantes nous cachait un grand talent de musicienne. Quelle sensibilité, quel son ! »

HEBDO CLERMONT

« Une virtuose qui a tout pour elle, à commencer par le nécessaire dépassement de la virtuosité (…). Les concertos de Bach sont pour Jacqueline Bourgès-Maunoury comme le révélateur d’un style rarissime, fait à la fois d’une fabuleuse rigueur rythmique (sa tenue des tempi est impressionnante) et d’une sensibilité lumineuse et retenue. Bach, joué au piano, avait pris une dimension authentique sous les doigts de Glenn Gould ; il la retrouve – et je pèse la comparaison –sous ceux de Jacqueline Bourgès-Maunoury. »

LA MONTAGNE

« A Gaveau, les productions Jean-Marie Fournier présentent presque tous les jours de jeunes pianistes. On y fait des découvertes. Ainsi, récemment, Jacqueline Bourgès-Maunoury, qui a transfiguré le neuvième Klavierstück de Stockhausen. »

Jacques Drillon – LE NOUVEL OBSERVATEUR

« Une Sonate de Mozart, des Préludes de Chopin, les Danses roumaines de Bartok, interprétées avec fougue et lyrisme, font crépiter les applaudissements. »

Jacques Lonchampt – LE MONDE

« Dotée d’une technique très sûre, d’une palette sonore très étendue et surtout d’une grande émotion intérieure (…), JBM donna toute sa plénitude dans les vingt-quatre Préludes de Chopin op.28 qui bénéficièrentd’une respiration sonore exceptionnelle, d’une intelligence profonde et d’une exécution alternant la sensibilité, sans mièvrerie et les passages plus graves ou fort subtilement dosés. La qualité du toucher de l’artiste et en particulier du travail de sa main gauche est assez étonnante.»

VAUCLUSE MATIN

« Récital piano Ravel et ses maîtres ou la pianiste Jacqueline Bourgès-Maunoury, le charme, l’émotion et le talent. »

SUD-OUEST

« Jacqueline Bourgès-Maunoury au piano est d’une présence musicale et instrumentale remarquable. »

LA SUISSE

« … Quando chi suona porta la felicita in chi ascolta allora la cosa piu importante e stata detta… »

GIORNALE DI BRESCIA

« Dès les premières notes du Nocturne en ut dièse mineur de Chopin, le jeu noble et délicat de l’interprète mêlait l’émotion à la rigueur technique, la passion à la raison. Un grand talent est passé à l’Espace Culturel de Champ-fleuri.»

LE QUOTIDIEN DE LA REUNION

« Ce n’est qu’à la dernière note, au premier silence revenu, qu’on prend conscience de la magie brisée, et qu’on réalise l’étourdissante qualité de son interprétation. »

LA DEPECHE DE TAHITI